vendredi 10 avril 2015

Blaise Matuidi fête ses 28 ans !

PSG: Quatre matchs de suspension ferme pour Ibrahimovic

Quatre matchs, ferme. Ses «propos grossiers et injurieux à l'endroit du corps arbitral», comme les qualifie le président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP), ont coûté cher à Zlatan Ibrahimovic et au PSG, déjà privé de son meilleur buteur pour la réception du Barça de Messi en quart de finale aller de Ligue des champions mercredi prochain
La commission de discipline de la LFP a aussi infligé deux matches de suspension au Marseillais Dimitri Payet pour des insultes. «Il a été tenu compte dans les deux cas de la frustration que les joueurs ont ressentis à l'issue de leurs matches et que pour autant les erreurs éventuelles commises par les arbitres et les officiels ne sont pas de nature à justifier des propos d'une telle grossièreté, venant de joueurs certes médiatiques, mais surtout de joueurs professionnels qui ont aussi un devoir d'exemplarité à cet égard», a-t-il ajouté.
 

«Je joue depuis 15 ans et je n'ai jamais vu un tel arbitre, dans ce pays de merde!»

Le 15 mars, après la défaite parisienne à Bordeaux (3-2). Une caméra de Canal+ avait filmé «Ibra» furieux, torse nu dans les entrailles du stade Chaban-Delmas, en train d'apostropher en anglais le quatrième arbitre, Johan Hamel: «Réveillez-vous! Nous ne jouons pas en amateurs! Passe en retrait, avec la main! Je n'ai jamais vu ça en 15 ans de carrière!» Puis le buteur tatoué se retourne et lâche «putain de trou du cul!». Il poursuit en s'avançant vers les vestiaires, devant la caméra: «Je joue depuis 15 ans et je n'ai jamais vu un tel arbitre, dans ce pays de merde! Ce pays ne mérite même pas le PSG! Nous sommes trop bons pour vous tous!»
Depuis sa précédente affaire disciplinaire (pour un coup de pied au Stéphanois Romain Hamouma) qui l'avait privé d'un double rendez-vous face à Monaco début mars, le Suédois était aussi sous le coup d'un match de suspension avec sursis, révoqué jeudi, d'où cette sanction qui est en fait de trois matches plus un par révocation du sursis.

Plus que trois rencontres de L1 pour Ibrahimovic

La sanction prend effet lundi à minuit, et «Ibra» est donc disponible pour la finale de Coupe de la Ligue samedi contre Bastia. Mais il manquera les matches de championnat à Nice, contre Lille et Metz et à Nantes. Il ne lui restera ensuite que trois rencontres de L1 à disputer (PSG-Guingamp, Montpellier-PSG et PSG-Reims). Le club peut toujours intenter un recours devant la commission d'appel de la Fédération (FFF), qui ne serait «pas suspensif», selon la LFP.
Avant la tombée de la sanction, le directeur sportif adjoint du PSG, Alivier Létang, avait plaidé la relaxe: «Zlatan ne doit pas être suspendu dans la mesure où il n'a tenu aucun propos grossier ou injurieux envers un membre du corps arbitral», avait-il avancé devant les journalistes. «Il s'exprimait envers lui-même et dans une sphère qu'on peut qualifier de privée».
Ibrahimovic, comme à son habitude, ne s'est pas déplacé devant la commission. Il était représenté par son avocat Me François Klein, et le PSG par Olivier Létang et Romain Voillemot, responsable juridique du club.
http://www.20minutes.fr/sport/football/1583495-20150410-psg-quatre-matches-suspension-ferme-ibrahimovic

jeudi 11 avril 2013

Zlatan Ibrahimovic a-t-il la poisse avec la Ligue des Champions ?

S'il est considéré comme l'un des meilleurs footballeurs du monde et a joué dans les plus grands clubs, Zlatan Ibrahimovic n'a jamais gagné la Ligue des Champions.
Chaque année, c'est la même histoire pour Zlatan Ibrahimovic. La star du PSG voit régulièrement lui échapper la Ligue des Champions, le graal des compétitions européennes. Son talent reconnu et son passage par les plus grands clubs ne lui ont jamais permis de remporter la coupe aux grandes oreilles. Il a une nouvelle fois échoué mercredi soir face au FC Barcelone, après une double confrontation de haut niveau.
"Ibra" a beau avoir remporté les championnats nationaux hollandais, espagnols et italiens, les joutes européennes se sont toujours refusées à lui. Il a débuté dans cette compétition en 2004 avec la Juventus Turin (3 buts en 19 rencontres sur ces deux années passées avec les Bianconeri) sans connaître la gloire. Deux ans après, il arrive à l'Inter Milan en devenant en 2008/2009 le meilleur buteur du Scudetto mais son équipe échoue encore en Ligue des Champions tout en étant souveraine en Italie.
Durant l'été 2009, le Suédois est échangé contre Samuel Eto'o plus 40 millions d'euros et débarque à Barcelone avec la ferme intention de franchir un palier dans la compétition européenne la plus importante. Manque de chance, c'est son ancien club, l'Inter Milan, qui élimine cette saison le Barça et remporte sans lui la Ligue des Champions. Il quitte la Catalogne en 2010 et est engagé par l'AC Milan qui se fera éliminé par les Barcelonais en 2012. Zlatan Ibrahimovic quitte deux fois de suite un club qui remporte la Ligue des Champions l'année suivante ou peu après.
Moins efficace en Ligue des Champions
Si la chance ne sourit pas au Suédois, il est également victime de son manque d'efficacité en C1. En neuf matchs avec le PSG, l'attaquant n'a inscrit que 3 buts alors qu'il en est déjà à 26 sur 28 rencontres en championnat de France. Coutumier du fait, ce manque de réussite devant le but n'est pas une nouveauté pour le Suédois.
Dans ses précédents clubs, le joueur a toujours vu son ratio d'efficacité chuter de manière spectaculaire à partir des 8e de finale de la Ligue des Champions, après la phase de poules. Selon Sport24 / Le Figaro, sur 31 buts en 97 matchs, Ibrahimovic n'en a marqué que 4 en 28 rencontres à élimination directe. Un résultat famélique dans la dernière ligne droite de cette compétition.
A 31 ans, Zlatan Ibrahimovic est devenu le pilier d'une équipe en devenir et aux moyens conséquents qui pourrait remporter la C1 dans un futur proche. Sera-t-il encore au PSG pour savourer le goût de cette éventuelle victoire dans cette compétition ? En neuf participations en Ligue des Champions, "Ibra" attend encore son tour.
 

mercredi 10 avril 2013

EN DIRECT. Barcelone-PSG, suivez l'avant-match !

Suivez l'avant match en cliquant sur ce lien .............. http://www.lepoint.fr/sport/football-ligue-des-champions-paris-reve-d-un-exploit-a-barcelone-10-04-2013-1652955_26.php

Paris est aux portes d'un exploit hors du commun : éliminer le FC Barcelone et se qualifier pour les demi-finales de la Ligue des champions. Mais pour le réaliser, les hommes de Carlo Ancelotti devront se fendre d'une prestation au moins aussi énorme qu'au match aller (match nul 2-2 arraché à la dernière seconde). En effet, le PSG doit absolument s'imposer mercredi soir, dans l'antre barcelonaise, le Camp Nou. Ou alors réaliser un match nul avec au moins deux buts inscrits : avec un score de 1-1, les Parisiens seraient éliminés puisqu'ils auraient alors marqué moins de buts à l'extérieur que les Catalans. Avant cette rencontre au sommet, suivez l'avant-match sur Le Point.fr !
19 h 11. Évidemment, ce quart de finale retour entre le Barça et le PSG est sur toutes les lèvres aujourd'hui. L'Équipe et Le Parisien/Aujourd'hui en France en font leur une. Point commun des deux quotidiens : l'optimisme.

Barça-PSG : Metz, l'exemple à suivre pour Paris...

Pour se motiver avant le match retour de ce soir, les Parisiens feraient bien de s'inspirer du FC Metz. En 1984, le club lorrain s'était qualifié au Camp Nou en passant quatre buts (!) aux Catalans de l'époque lors du 1er retour de la C2 ! MYTF1News se souvient de cet exploit.
C'est une époque que les moins de trente ans auront du mal à croire qu'elle ait pu exister : un match de Coupe d'Europe avec une équipe française non retransmis à la télévision et dont le résultat n'a été, en exagérant un peu, connu que le lendemain au réveil.

Cette époque n'est pourtant pas si lointaine. Elle remonte à octobre 1984. Un temps où Internet n'existe pas, où le PAF (Paysage audiovisuel français) ne comporte que trois chaînes, toutes publiques (Canal+ naîtra au début du mois suivant), et où un seul club tricolore est engagé en Coupe d'Europe des clubs champions (ancêtre de la
Ligue des Champions). Jusqu'à son élimination -qui intervient alors généralement assez tôt-, il est le seul à avoir à coup sûr l'honneur d'une retransmission télévisée en direct. La C1 est ensuite mise en sommeil jusqu'à la finale.
Les trois ou quatre autres clubs français engagés chaque année en Coupe d'Europe des vainqueurs Coupes (C2, aujourd'hui disparue) et en Coupe de l'UEFA (C3, devenue Europa League) sont quant à eux diffusés, souvent en différé, au gré du prestige de leur adversaire, du suspense engendré par la confrontation, voire de l'horaire du match.
0% de chances pour Metz
Bref, personne ne se bouscule au portillon ce 3 octobre 1984 pour diffuser, ou même simplement suivre, le match retour du premier tour de la C2 entre Barcelone et Metz, vainqueur de la Coupe de France. Certes, la France est devenue championne d'Europe en juin en battant justement l'Espagne. Mais au niveau des clubs, le football ibérique est bien supérieur. Même si le Barça de l'époque et ses deux étrangers Bernd Schuster et Steve Archibald -nous sommes aussi avant l'arrêt Bosman- n'est pas celui de 2013, il fait figure de Goliath face au David messin.
Le match aller a d'ailleurs confirmé ce rapport de force : sans forcer, les Catalans se sont imposés 4-2 au stade Saint-Symphorien. Ce match retour est donc a priori sans suspense -les statistiques, basées sur trois cas précédents en C2, donnent même 0% de chance aux hommes de Marcel Husson ! Et si son horaire -21h15- est habituel pour l'Espagne, il est rédhibitoire pour être diffusé dans l'Hexagone vu son faible intérêt supposé. Les supporters catalans font aussi le même constat puisque le Camp Nou sonne creux avec seulement 25.000 spectateurs sur 90.000 possibles.
Un triplé de Kurbos
Si les Grenats, à la peine en championnat, jouent plutôt bien en début du match, ils se font surprendre à la demi-heure de jeu. De trois buts à remonter, les voilà alors condamnés à battre quatre fois le portier barcelonais. Même pour M. Phelps, la mission semble impossible. Pourtant, moins de cinq minutes plus tard, l'espoir va naître. C'est tout d'abord Toni Kurbos qui égalise avant qu'un défenseur catalan ne marque contre son camp. Le FC Metz vire donc en tête à la mi-temps, ave la moitié du chemin parcouru. Encore difficile face à une équipe qui va forcément se méfier beaucoup plus.

Pourtant, à la 55e minute, Kurbos trompe encore une fois Amador. Les Lorrains ne sont donc plus qu'à un but de leur Everest. La fin est épique entre le Barça qui tente de se mettre à l'abri et Metz qui n'a plus rien à perdre. A la 85e servi par Jules Bocandé (décédé en mai 2012), c'est encore Kurbos qui inscrit le but de la qualification. Les Ettore, Hinschberger ou encore Sonor tiendront ensuite le coup pour conserver le score et humilier les Catalans.
Exploit sans lendemain
En voyant le 1-4 sur les dépêches d'agence, la légende veut que les journalistes français de permanence, face à l'énormité de la situation, aient pensé spontanément à une inversion du résultat ! Malheureusement pour Metz, cet exploit fut sans lendemain. Le mois suivant, les Lorrains s'inclinent à Dresde 3-1 à l'aller. Et ne peuvent faire mieux que 0-0 au retour.
Quoi qu'il en soit, ce Barça-Metz de 1984 reste aujourd'hui comme l'un des plus grands "coups" d'un club français en Coupe d'Europe. Vingt-neuf ans après, au PSG d'en prendre exemple lors d'un match cette fois surmédiatisé.
 

Barcelone-PSG: «Il faudra peut-être jouer avec le chrono», selon Andrès Iniesta

Le milieu catalan voit plus loin que ce quart de finale…
Pour beaucoup, Andrès Iniesta mériterait d’avoir au moins un des Ballons d’Or collectionnés par Lionel Messi depuis quatre ans. Bombardé de questions sur l’absence –possible- de l’Argentin face au PSG, le champion du monde espagnol aurait pu en profiter pour revendiquer plus de responsabilités au Barça. Mais Iniesta est top bien élevé pour cela…
Etes-vous optimiste avant ce match retour?
Les sensations sont plutôt bonnes. On joue une nouvelle place en demi-finale, devant notre public, le résultat du match aller est favorable dans l’ensemble…Mais on sait aussi qu’on joue une équipe très forte en face. On devra faire un match parfait pour passer le prochain tour. L’an passé la finale nous a échappé, la Liga aussi, on doit avoir l’objectif en tête de rattraper ça, même si la finale est encore loin.
Faut-il être aussi ambitieux que contre Milan?
Je ne crois pas. Contre Milan on devait remonter un score très défavorable. Evidemment, ce match devrait nous servir de modèle à chaque fois que l’on rentre sur le terrain. Quand on joue avec cette ambition, l’adversaire souffre beaucoup. Mais contre le PSG la situation sera différente. Il faudra faire un match sérieux, observer comment ça va se passer et savoir jouer avec le chrono. Le but est de contrôler le déroulement du match.
Espérez-vous un arbitrage moins défavorable qu’au match aller?
L’arbitre a le droit de se tromper même si c’est rageant quand ça vous arrive. Maintenant ça fait partie du football de commenter les décisions des uns et des autres…A Paris, les faits de jeu qui nous ont désavantagés sont plus une question de règlement que d’interprétation. Nous ce qui nous intéresse c’est ce qu’on peut maîtriser sur le terrain, bien jouer si possible et avoir de l’ambition. Le reste n’est pas de notre ressort.
Craignez-vous un peu plus les attaquants du PSG qu’il y a une semaine?
On connaissait leurs qualités avant le match aller. Ils ont tous une très bonne conduite de balle et sont capables faire des percées très importantes balle au pied. On sait que c’est une équipe qui n’a pas besoin de faire beaucoup de passes pour arriver jusqu’à la surface adverse. Après c’est toujours pareil. Si le Barça joue comme il le sait faire, le PSG va souffrir et on aura de grandes chances de gagner. Cela dépend de nous.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1134373-20130409-barcelone-psg-il-faudra-peut-etre-jouer-chrono-selon-andres-iniesta

mardi 9 avril 2013

Barcelone-PSG: Ces chiffres qui vont effrayer (ou pas) les Parisiens

Pour bien comprendre combien il est difficile de s’imposer chez les Catalans…
De loin, ça ressemble à une mission impossible. Le problème, c’est que de près aussi. Après un match nul (2-2) à l’aller, le PSG est condamné à l’exploit mercredi en quart de finale retour de la Ligue des champions chez le Barça. Les chiffres le montrent: briller en Catalogne est extrêmement rare. Mais ça arrive.
La stat qui fait peur: l’invincibilité à domicile
En championnat, la domination barcelonaise sur son terrain est immense. Les hommes de Tito Vilanova ont disputé 15 matchs au Camp Nou, pour un bilan qui fait peur: 14 victoires, un match nul, aucune défaite. Et pas des victoires de raccro, puisque les Catalans ont marqué 52 buts, n’en encaissant que 11.
La stat qui veut tout et rien dire: les résultats sans Messi
S’il ne joue pas contre le PSG, Lionel Messi va beaucoup manquer à son équipe. Tant que ça? Pas forcément. Selon des données compilées par Eurosport, l’Argentin a raté 10 matchs ces deux dernières saisons. Et le Barça a gagné 10 fois. Un chiffre à relativiser: quand Messi est mis au repos, ce n’est jamais contre de grosses équipes.
La stat qui laisse un espoir de qualif: d’autres l’ont déjà fait
Non, les Barcelonais ne sont pas invincibles en Ligue des champions chez eux. La dernière équipe à avoir gagné au Camp Nou en C1, c’est le Rubin Kazan, en phase de poule, il y a trois ans (1-2). Si l’Inter et Chelsea n’ont pas gagné à Barcelone, ils se sont tout de même qualifiés pour la finale après un nul pour les Anglais (2-2) et une défaite pour les Italiens (1-0), au match retour en Catalogne. Comme le PSG, la Juventus de Turin était elle aussi éliminée au coup d’envoi en 2003. Ils sont les derniers dans ce cas-là à voir eu la peau de Barcelone, grâce à une victoire (1-2, ap).
La stat qui ne fait pas plaisir à la France: une seule victoire tricolore au Camp Nou
Un seul club français s’est imposé sur la pelouse de Barcelone. C’est le FC Metz, auteur d’un exploit considérable avec une victoire 1-4 en 1984, lors de la défunte Coupe des Coupes. Pour le reste, c’est un désert. Nice (en 1973, 2-0), Monaco (1993, 2-0) se sont inclinés. Comme l’OL, tombé trois fois (2001, 2007, 2009). Le seul match nul? Le PSG, en 1995 (1-1). Mercredi soir, ce ne serait pas suffisant

http://www.20minutes.fr/sport/football/1134227-20130409-barcelone-psg-chiffres-vont-effrayer-ou-pas-parisiens

Touché par la critique, Lovren confie son mal-être à un journal croate

Le quotidien sportif croate Sportske Novotni livre sur son site le compte-rendu d'un entretien de plus de deux heures avec Dejan Lovren. Le défenseur central de l'OL s'épanche longuement sur les difficultés rencontrées à Lyon. Ses blessures, le sentiment de ne pas être soutenu et écouté par ses dirigeants ou bien encore ses relations tendues avec les médias français.
Il n'avait visiblement pas besoin de cela mais Raymond Domenech ne s'était pas privé de tacler Dejan Lovren après son match à Sochaux il y a dix jours (1-2), l'accusant de mettre Lyon en danger en permanence.
"Ça ne date malheureusement pas d'aujourd'hui ce problème de défense à l'OL. Quelle que soit l'organisation de la charnière centrale, ils sont toujours en difficulté. Le deuxième but, c'est le sommet ! Entre la bourde de Lovren et Koné qui est en train de dormir. Mais pourquoi Lovren ne pousse pas le ballon en touche ? Le problème est réglé. Lovren est international. C'est donc censé être un bon joueur. Mais accumuler autant de fautes à chaque match... A un moment donné, il faut quand même lui dire : un peu de rigueur bon sang ! Je pense que c'est un garçon sérieux, mais ses nombreuses erreurs mettent Lyon en danger en permanence", avait lancé l'ex-sélectionneur de l'équipe de France, consultant sur Ma Chaîne Sport.

Sur son site, le quotidien sportif croate revient sur la période délicate que traverse l'internatinoal croate. Ce dernier se confie longuement, expliquant être "le plus grand critique de moi-même". "Et je sais quand j'ai échoué. Ca me donne envie de pleurer quand je fais une erreur technique essentielle."
Seulement voilà, le joueur semble aujourd'hui au bord de la rupture avec son club. "Je suis écoeuré par ce qui se passe tout autour de moi. Je ne suis pas heureux tant que joueur [...] Je ne sais pas pourquoi les médias français ont une telle attitude envers moi. J'ai essayé dans les conversations avec les journalistes d'être gentil expliquant ma vision mais rien n'y faisait [...] J'ai donc gardé le silence, mais même cela n'a pas aidé."
Décrivant un sentiment d'abandon au sein de son club, Dejan Lovren s'avoue "très déçu du comportement de certaines personnes".
"Je pensais qu'ils allaient réagir. Ok, je peux comprendre que le club ne soit pas content de mon jeu, je ne le suis pas non plus. Mais que personne ne demande pourquoi je ne suis pas dans une forme optimale, ne me parle et m'encourage pour résoudre cette situation problématique, c'est ce qui m'a vraiment frappé. Le public ne connaît pas le fond de mes erreurs, même si elles sont, pour être honnête, exagérées [...] C'est l'une des raisons de mon mécontentement. Ils voient que je suis malheureux, que je ne suis pas en mesure de donner le meilleur d'eux-mêmes, mais personne ne dit rien. On pourrait s'attendre à une conversation, quelques conseils. Je suis encore un jeune joueur, je veux toujours apprendre et m'épanouir."

"2012 a été un vrai cauchemar professionnel" poursuit-il détaillant les multiples blessures qui ont émaillé ces deux dernières saisons. "Tout le contraire du bonheur que j'ai éprouvé sur le plan personnel, le mariage et la naissance de sa fille" explique-t-il.
"Si je suis à blâmer pour les problèmes de Lyon, ainsi soit-il. Il y a encore neuf journée avant la fin, je vais faire de mon mieux. Ensuite, nous allons nous asseoir autour d'une table et voir ce qui se passe, ce que le club veut et ce qui est meilleur pour nous tous."

http://www.leprogres.fr/football/2013/04/09/lovren-confie-son-mal-etre-a-un-journal-croate

David Beckham devrait rester au PSG

L'Anglais et le PSG sont d’accord pour prolonger…
Un an de plus? A 38 ans en mai, David Beckham devrait continuer sa carrière au PSG. Selon Le Parisien, le milieu de terrain et le club de la capitale seraient d’accord pour prolonger le contrat de l’Anglais et devraient très rapidement entrer dans le détail des négociations. Il y a une semaine, The Sun révélait le début des discussions entre les deux parties.
Le club et le joueur doivent toutefois encore régler de nombreux points, comme l’imposition du joueur. D’une durée initiale de cinq mois, son contrat lui permet d’éviter d’être résident fiscal français. Des négociations auraient débuté entre le PSG et l’administration fiscale française. David Beckham ne verrait pas d’inconvénient à être imposé sur ses revenus perçus en France mais serait nettement moins partant pour l’être sur les 36 millions d’euros de revenus annuels, fruit de l’ensemble de ses contrats.
Arrivée fin janvier, la star britannique a disputé huit matchs avec le PSG dont trois titularisations. L’Anglais a notamment débuté le quart de finale aller de Ligue des champions contre Barcelone il y a une semaine. Son entraîneur Carlo Ancelotti et son président Nasser al-Khelaïfi ont affirmé leur volonté de le conserver.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1133935-20130409-david-beckham-devrait-prolonger-psg

PSG: Une prime de 400.000 euros pour les titulaires en cas de titre?

C’est ce qu’auraient réussi à négocier les joueurs parisiens…
Avec sept points d’avance sur Marseille, il faudrait un cataclysme pour que le PSG ne soit pas sacré champion de France en mai prochain. Une bonne nouvelle pour les supporters, et une excellente pour les joueurs. Selon Le Parisien, une prime de 400.000 euros sera versée aux Parisiens s’ils deviennent champions de France. Même ceux partis en cours de saison ou ayant moins joué en bénéficierait, au prorata de leur présence sur la pelouse.
Les Parisiens peuvent remercier les trois négociateurs de chocs ayant arraché cette prime à Leonardo: Zlatan Ibrahimovic, Zoumana Camara et Thiago Silva, le capitaine. Ce genre de négociation a le plus souvent lieu en début de saison. Mais les discussions avaient buté il y a quelques mois, quand les délégués du vestiaire étaient Mathieu Bodmer, Christophe Jallet et déjà Zoumana Camara. Il faut croire que même en coulisse, le Suédois et le Brésilien tirent leurs camarades vers le haut.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1133179-20130408-psg-prime-400000-euros-titulaires-cas-titre

lundi 8 avril 2013

Football: 2 supporters blessés à Rome

Deux personnes ont été blessées à coups de couteau aujourd'hui lors d'affrontements entre supporters avant le derby entre l'AS Roma et la Lazio, a annoncé la police.

Les heurts se sont produits aux abords du Stade olympique de Rome, où le match comptant pour la 31e journée de Serie A, le championnat italien de football de première division, a débuté à 20h45 (18h45 GMT).

Le maire de Rome, Gianni Alemanno, a précisé que ces violences avaient contraint les boutiques du quartier à fermer.

La Lazio occupe actuellement la sixième place du classement, avec 50 points, la Roma suit à la septième place, à trois points.
Suivez le match en DIRECT.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/08/97001-20130408FILWWW00642-football-2-supportes-blesses-a-rome.php

Ligue 1: Marseille, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Nice… Qui pour accompagner le PSG en C1?

Si Paris semble assuré du titre, la lutte fera rage pour la qualification en Ligue des champions…
Le sprint final est lancé. À sept journées de la fin de la saison, le suspense reste entier en Ligue 1. Si le titre promis au PSG ne semble plus faire aucun doute, derrière la lutte est serrée pour les deux autres tickets à décrocher en Ligue des champions. De Marseille (2e) à Nice (6e), ils sont cinq à pouvoir prétendre à la piste aux étoiles. État des forces en présence, avec Olivier Rouyer, consultant foot sur Canal +.

Marseille, 2e avec 57 points

Sur le podium depuis octobre, on prédit depuis des mois une chute certaine à l’OM. Sauf que les hommes d’Élie Baup savent souvent se contenter de peu. Sur leurs 17 victoires cette saison, les Marseillais en ont remporté quatorze avec un but d’écart. «Ce n’est pas spectaculaire à voir jouer mais c’est très costaud. On ne les attendait pas là et c’est d’ailleurs leur point fort. On aura du mal à les déloger surtout s’ils ne perdent pas à Lille dimanche», estime Rouyer.

Saint-Etienne, 3e avec 53 points (+26)

Deuxième attaque, deuxième défense, deuxième différence de buts et deuxième meilleur buteur. Les Verts, toujours invaincus en 2013, ont de quoi vraiment prétendre au podium. «Sauf que je les vois terminer quatrièmes. Ce sont les seuls à être encore sur tous les tableaux. Et la finale de Coupe de la Ligue (le 20 avril) peut avoir un effet très pervers. Victoire ou défaite, il pourrait y avoir une décompression néfaste dans la dernière ligne droite», prédit Olivier Rouyer.

Lyon, 4e avec 53 points (+16)

Une équipe qui vient d’être battue respectivement par Bastia, Sochaux et Reims semble à bout de souffle. En 2013, l’OL n’est plus que l’ombre de lui-même en 2013 (4 victoires en 12 matchs). «Il y a quelque chose de cassé. On a l’impression que les joueurs lâchent pour différentes raisons. Je pense qu’ils auront du mal à s’en remettre. Je ne les vois pas sur le podium», enfonce le consultant Canal+.

Lille, 5e avec 52 points

C’est l’équipe en forme du moment. Avec sept victoires sur ses huit derniers matchs, le Losc aborde le sprint final en pleine confiance. «À chaque fois, ils sont inarrêtables en fin de saison. On les sent sûrs d’eux. La qualité et l’état d’esprit sont revenus. Pour moi, ils y vont tout droit. J’en fais mon candidat numéro 1 pour la troisième place», parie Olivier Rouyer.

Nice, 6e avec 51 points

La grosse côte. En début de saison, personne n’imaginait les Niçois à pareille fête. Et pourtant. «Il y a un boulot formidable de Claude Puel. Mais ils n’ont pas assez de banc et manquent encore d’expérience pour aller sur le podium», conclut l’ancien joueur de Nancy.

http://www.20minutes.fr/sport/1133507-20130408-ligue-1-marseille-saint-etienne-lyon-lille-nice-accompagner-psg-c1

Nancy impressionne

Peut-être parce qu’on est à Nancy plus sensible qu’un peu partout ailleurs à ce genre de drame. Jean-Marc Furlan faisait peine à voir, seul sur son estrade, samedi, à l’heure des conclusions. Il restait digne et lucide et même s’il évita soigneusement de tenir des propos définitifs, son discours ne laissait guère de doute sur le sort qui attend son équipe. Troyes jouera l’an prochain en Ligue 2, voilà une affaire classée. Nancy sans état d’âme, s’est chargé de refermer le couvercle.
Il reste deux victimes à trouver au hasard des sept journées restantes. « Car il n’y a que la 17e place qui m’intéresse … », répète comme un slogan Patrick Gabriel. Une supplique qui ramène à la recommandation numéro un du moment : pas question de s’emballer. Dans le genre, le plus « dangereux » personnage est peut-être Jacques Rousselot. Le président était transporté par des émotions proportionnelles à ses dernières angoisses : « C’est fabuleux. Je n’ai jamais connu cela. On revient au contact, tous ceux qui nous avaient déjà condamnés avaient tort. Mais nerveusement que ce fut dur… ».

Le jeu et l’enjeu

Cette équipe nancéienne aurait-elle domestiqué cette peur du vide qui lui tient compagnie depuis quelques mois ? S’il fallait caractériser autrement les progrès de cette ASNL laissée pour morte en hiver, on diagnostiquerait ce mental à toutes épreuves. La preuve ? Le comportement de cet adversaire troyen qui avait toisé les plus gros de cette Ligue 1 et qui est venu à Picot profil bas, jouant même contre nature, comme un hommage à une équipe nancéienne féroce. Furlan l’a admis, il craignait Nancy. Il est vrai qu’au classement virtuel des matchs retour l’ASNL est… cinquième !
Cela nous ramène en arrière, à vendredi quand Gabriel décréta qu’un nul ne serait pas un mauvais résultat. Une provocation ? Une manière de déminer ? Plus que cela ! « Je savais surtout qu’il fallait ne pas prendre de but , précise-t-il. Ensuite je connaissais les statistiques, Troyes encaisse beaucoup de buts sur la fin… ». Le coup était prémédité.
Les joueurs, interrogés au débotté, confirmeront que la voie était tracée. Ils ont foncé les yeux fermés. Force est de constater qu’ils ne sont jamais sortis des rails, continuant à bâtir leur équilibre de vie entre un élan offensif quasi permanent et des bases toujours bien maîtrisées. Cette partition se traduit aujourd’hui par une série remarquable, y compris parce que Grégorini n’est plus battu depuis trois matches. Une équipe s’est stabilisée.
Voilà donc Nancy à un point de la ligne de flottaison, agitée par une dynamique qui ressemble à une revanche après des mois en souffrance. Pourtant l’entraîneur douche les flambeurs : « On a toujours 2 % de chance de se maintenir ! Car ce soir on est en Ligue 2. […] Et comptez sur moi pour calmer tout le monde avant Ajaccio ! ».

http://www.republicain-lorrain.fr/sports/2013/04/08/nancy-impressionne

Agression d’un arbitre à Anzin-Saint-Aubin: le suspect en garde à vue

Ce lundi matin, le capitaine de l’ES Vendin-le-Vieil a été convoqué au commissariat d’Arras, où il a été placé en garde à vue. Le joueur de football, âgé de 33 ans, avait agressé un arbitre lundi dernier lors d’un match de promotion de première division du district Artois.

Dans cette affaire, l’arbitre a déposé plainte pour violences au commissariat d’Avion, tandis que le club d’Anzin-Saint-Aubin déposait plainte également, mais pour dégradations. Le joueur mis en cause, accompagné de deux coéquipiers, avait arraché la porte du vestiaire avant de prendre la fuite.
Lundi dernier, lors d’une rencontre de Promotion première division, le capitaine de l’ES Vendin-le-Vieil avait menacé l’arbitre, avant de le frapper au visage et de le rouer de coups de pieds au sol. La victime avait été transportée à l’hôpital d’Arras par les pompiers. Elle présente une ITT de quinze jours.
L’affaire a fait grand bruit dans le monde du football amateur et de nombreuses voix se sont élevées, notamment chez les arbitres, pour réclamer plus de sévérité dans les sanctions. La Ligue de football Nord – Pas-de-Calais a d’ores et déjà réagi en annonçant un doublement des sanctions et des amendes en cas de violences, insultes, menaces, bousculades, propos racistes…

http://www.lavoixdunord.fr/region/agression-d-un-arbitre-a-anzin-saint-aubin-le-suspect-ia29b0n1160670

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