jeudi 11 avril 2013

Zlatan Ibrahimovic a-t-il la poisse avec la Ligue des Champions ?

S'il est considéré comme l'un des meilleurs footballeurs du monde et a joué dans les plus grands clubs, Zlatan Ibrahimovic n'a jamais gagné la Ligue des Champions.
Chaque année, c'est la même histoire pour Zlatan Ibrahimovic. La star du PSG voit régulièrement lui échapper la Ligue des Champions, le graal des compétitions européennes. Son talent reconnu et son passage par les plus grands clubs ne lui ont jamais permis de remporter la coupe aux grandes oreilles. Il a une nouvelle fois échoué mercredi soir face au FC Barcelone, après une double confrontation de haut niveau.
"Ibra" a beau avoir remporté les championnats nationaux hollandais, espagnols et italiens, les joutes européennes se sont toujours refusées à lui. Il a débuté dans cette compétition en 2004 avec la Juventus Turin (3 buts en 19 rencontres sur ces deux années passées avec les Bianconeri) sans connaître la gloire. Deux ans après, il arrive à l'Inter Milan en devenant en 2008/2009 le meilleur buteur du Scudetto mais son équipe échoue encore en Ligue des Champions tout en étant souveraine en Italie.
Durant l'été 2009, le Suédois est échangé contre Samuel Eto'o plus 40 millions d'euros et débarque à Barcelone avec la ferme intention de franchir un palier dans la compétition européenne la plus importante. Manque de chance, c'est son ancien club, l'Inter Milan, qui élimine cette saison le Barça et remporte sans lui la Ligue des Champions. Il quitte la Catalogne en 2010 et est engagé par l'AC Milan qui se fera éliminé par les Barcelonais en 2012. Zlatan Ibrahimovic quitte deux fois de suite un club qui remporte la Ligue des Champions l'année suivante ou peu après.
Moins efficace en Ligue des Champions
Si la chance ne sourit pas au Suédois, il est également victime de son manque d'efficacité en C1. En neuf matchs avec le PSG, l'attaquant n'a inscrit que 3 buts alors qu'il en est déjà à 26 sur 28 rencontres en championnat de France. Coutumier du fait, ce manque de réussite devant le but n'est pas une nouveauté pour le Suédois.
Dans ses précédents clubs, le joueur a toujours vu son ratio d'efficacité chuter de manière spectaculaire à partir des 8e de finale de la Ligue des Champions, après la phase de poules. Selon Sport24 / Le Figaro, sur 31 buts en 97 matchs, Ibrahimovic n'en a marqué que 4 en 28 rencontres à élimination directe. Un résultat famélique dans la dernière ligne droite de cette compétition.
A 31 ans, Zlatan Ibrahimovic est devenu le pilier d'une équipe en devenir et aux moyens conséquents qui pourrait remporter la C1 dans un futur proche. Sera-t-il encore au PSG pour savourer le goût de cette éventuelle victoire dans cette compétition ? En neuf participations en Ligue des Champions, "Ibra" attend encore son tour.
 

mercredi 10 avril 2013

EN DIRECT. Barcelone-PSG, suivez l'avant-match !

Suivez l'avant match en cliquant sur ce lien .............. http://www.lepoint.fr/sport/football-ligue-des-champions-paris-reve-d-un-exploit-a-barcelone-10-04-2013-1652955_26.php

Paris est aux portes d'un exploit hors du commun : éliminer le FC Barcelone et se qualifier pour les demi-finales de la Ligue des champions. Mais pour le réaliser, les hommes de Carlo Ancelotti devront se fendre d'une prestation au moins aussi énorme qu'au match aller (match nul 2-2 arraché à la dernière seconde). En effet, le PSG doit absolument s'imposer mercredi soir, dans l'antre barcelonaise, le Camp Nou. Ou alors réaliser un match nul avec au moins deux buts inscrits : avec un score de 1-1, les Parisiens seraient éliminés puisqu'ils auraient alors marqué moins de buts à l'extérieur que les Catalans. Avant cette rencontre au sommet, suivez l'avant-match sur Le Point.fr !
19 h 11. Évidemment, ce quart de finale retour entre le Barça et le PSG est sur toutes les lèvres aujourd'hui. L'Équipe et Le Parisien/Aujourd'hui en France en font leur une. Point commun des deux quotidiens : l'optimisme.

Barça-PSG : Metz, l'exemple à suivre pour Paris...

Pour se motiver avant le match retour de ce soir, les Parisiens feraient bien de s'inspirer du FC Metz. En 1984, le club lorrain s'était qualifié au Camp Nou en passant quatre buts (!) aux Catalans de l'époque lors du 1er retour de la C2 ! MYTF1News se souvient de cet exploit.
C'est une époque que les moins de trente ans auront du mal à croire qu'elle ait pu exister : un match de Coupe d'Europe avec une équipe française non retransmis à la télévision et dont le résultat n'a été, en exagérant un peu, connu que le lendemain au réveil.

Cette époque n'est pourtant pas si lointaine. Elle remonte à octobre 1984. Un temps où Internet n'existe pas, où le PAF (Paysage audiovisuel français) ne comporte que trois chaînes, toutes publiques (Canal+ naîtra au début du mois suivant), et où un seul club tricolore est engagé en Coupe d'Europe des clubs champions (ancêtre de la
Ligue des Champions). Jusqu'à son élimination -qui intervient alors généralement assez tôt-, il est le seul à avoir à coup sûr l'honneur d'une retransmission télévisée en direct. La C1 est ensuite mise en sommeil jusqu'à la finale.
Les trois ou quatre autres clubs français engagés chaque année en Coupe d'Europe des vainqueurs Coupes (C2, aujourd'hui disparue) et en Coupe de l'UEFA (C3, devenue Europa League) sont quant à eux diffusés, souvent en différé, au gré du prestige de leur adversaire, du suspense engendré par la confrontation, voire de l'horaire du match.
0% de chances pour Metz
Bref, personne ne se bouscule au portillon ce 3 octobre 1984 pour diffuser, ou même simplement suivre, le match retour du premier tour de la C2 entre Barcelone et Metz, vainqueur de la Coupe de France. Certes, la France est devenue championne d'Europe en juin en battant justement l'Espagne. Mais au niveau des clubs, le football ibérique est bien supérieur. Même si le Barça de l'époque et ses deux étrangers Bernd Schuster et Steve Archibald -nous sommes aussi avant l'arrêt Bosman- n'est pas celui de 2013, il fait figure de Goliath face au David messin.
Le match aller a d'ailleurs confirmé ce rapport de force : sans forcer, les Catalans se sont imposés 4-2 au stade Saint-Symphorien. Ce match retour est donc a priori sans suspense -les statistiques, basées sur trois cas précédents en C2, donnent même 0% de chance aux hommes de Marcel Husson ! Et si son horaire -21h15- est habituel pour l'Espagne, il est rédhibitoire pour être diffusé dans l'Hexagone vu son faible intérêt supposé. Les supporters catalans font aussi le même constat puisque le Camp Nou sonne creux avec seulement 25.000 spectateurs sur 90.000 possibles.
Un triplé de Kurbos
Si les Grenats, à la peine en championnat, jouent plutôt bien en début du match, ils se font surprendre à la demi-heure de jeu. De trois buts à remonter, les voilà alors condamnés à battre quatre fois le portier barcelonais. Même pour M. Phelps, la mission semble impossible. Pourtant, moins de cinq minutes plus tard, l'espoir va naître. C'est tout d'abord Toni Kurbos qui égalise avant qu'un défenseur catalan ne marque contre son camp. Le FC Metz vire donc en tête à la mi-temps, ave la moitié du chemin parcouru. Encore difficile face à une équipe qui va forcément se méfier beaucoup plus.

Pourtant, à la 55e minute, Kurbos trompe encore une fois Amador. Les Lorrains ne sont donc plus qu'à un but de leur Everest. La fin est épique entre le Barça qui tente de se mettre à l'abri et Metz qui n'a plus rien à perdre. A la 85e servi par Jules Bocandé (décédé en mai 2012), c'est encore Kurbos qui inscrit le but de la qualification. Les Ettore, Hinschberger ou encore Sonor tiendront ensuite le coup pour conserver le score et humilier les Catalans.
Exploit sans lendemain
En voyant le 1-4 sur les dépêches d'agence, la légende veut que les journalistes français de permanence, face à l'énormité de la situation, aient pensé spontanément à une inversion du résultat ! Malheureusement pour Metz, cet exploit fut sans lendemain. Le mois suivant, les Lorrains s'inclinent à Dresde 3-1 à l'aller. Et ne peuvent faire mieux que 0-0 au retour.
Quoi qu'il en soit, ce Barça-Metz de 1984 reste aujourd'hui comme l'un des plus grands "coups" d'un club français en Coupe d'Europe. Vingt-neuf ans après, au PSG d'en prendre exemple lors d'un match cette fois surmédiatisé.
 

Barcelone-PSG: «Il faudra peut-être jouer avec le chrono», selon Andrès Iniesta

Le milieu catalan voit plus loin que ce quart de finale…
Pour beaucoup, Andrès Iniesta mériterait d’avoir au moins un des Ballons d’Or collectionnés par Lionel Messi depuis quatre ans. Bombardé de questions sur l’absence –possible- de l’Argentin face au PSG, le champion du monde espagnol aurait pu en profiter pour revendiquer plus de responsabilités au Barça. Mais Iniesta est top bien élevé pour cela…
Etes-vous optimiste avant ce match retour?
Les sensations sont plutôt bonnes. On joue une nouvelle place en demi-finale, devant notre public, le résultat du match aller est favorable dans l’ensemble…Mais on sait aussi qu’on joue une équipe très forte en face. On devra faire un match parfait pour passer le prochain tour. L’an passé la finale nous a échappé, la Liga aussi, on doit avoir l’objectif en tête de rattraper ça, même si la finale est encore loin.
Faut-il être aussi ambitieux que contre Milan?
Je ne crois pas. Contre Milan on devait remonter un score très défavorable. Evidemment, ce match devrait nous servir de modèle à chaque fois que l’on rentre sur le terrain. Quand on joue avec cette ambition, l’adversaire souffre beaucoup. Mais contre le PSG la situation sera différente. Il faudra faire un match sérieux, observer comment ça va se passer et savoir jouer avec le chrono. Le but est de contrôler le déroulement du match.
Espérez-vous un arbitrage moins défavorable qu’au match aller?
L’arbitre a le droit de se tromper même si c’est rageant quand ça vous arrive. Maintenant ça fait partie du football de commenter les décisions des uns et des autres…A Paris, les faits de jeu qui nous ont désavantagés sont plus une question de règlement que d’interprétation. Nous ce qui nous intéresse c’est ce qu’on peut maîtriser sur le terrain, bien jouer si possible et avoir de l’ambition. Le reste n’est pas de notre ressort.
Craignez-vous un peu plus les attaquants du PSG qu’il y a une semaine?
On connaissait leurs qualités avant le match aller. Ils ont tous une très bonne conduite de balle et sont capables faire des percées très importantes balle au pied. On sait que c’est une équipe qui n’a pas besoin de faire beaucoup de passes pour arriver jusqu’à la surface adverse. Après c’est toujours pareil. Si le Barça joue comme il le sait faire, le PSG va souffrir et on aura de grandes chances de gagner. Cela dépend de nous.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1134373-20130409-barcelone-psg-il-faudra-peut-etre-jouer-chrono-selon-andres-iniesta

mardi 9 avril 2013

Barcelone-PSG: Ces chiffres qui vont effrayer (ou pas) les Parisiens

Pour bien comprendre combien il est difficile de s’imposer chez les Catalans…
De loin, ça ressemble à une mission impossible. Le problème, c’est que de près aussi. Après un match nul (2-2) à l’aller, le PSG est condamné à l’exploit mercredi en quart de finale retour de la Ligue des champions chez le Barça. Les chiffres le montrent: briller en Catalogne est extrêmement rare. Mais ça arrive.
La stat qui fait peur: l’invincibilité à domicile
En championnat, la domination barcelonaise sur son terrain est immense. Les hommes de Tito Vilanova ont disputé 15 matchs au Camp Nou, pour un bilan qui fait peur: 14 victoires, un match nul, aucune défaite. Et pas des victoires de raccro, puisque les Catalans ont marqué 52 buts, n’en encaissant que 11.
La stat qui veut tout et rien dire: les résultats sans Messi
S’il ne joue pas contre le PSG, Lionel Messi va beaucoup manquer à son équipe. Tant que ça? Pas forcément. Selon des données compilées par Eurosport, l’Argentin a raté 10 matchs ces deux dernières saisons. Et le Barça a gagné 10 fois. Un chiffre à relativiser: quand Messi est mis au repos, ce n’est jamais contre de grosses équipes.
La stat qui laisse un espoir de qualif: d’autres l’ont déjà fait
Non, les Barcelonais ne sont pas invincibles en Ligue des champions chez eux. La dernière équipe à avoir gagné au Camp Nou en C1, c’est le Rubin Kazan, en phase de poule, il y a trois ans (1-2). Si l’Inter et Chelsea n’ont pas gagné à Barcelone, ils se sont tout de même qualifiés pour la finale après un nul pour les Anglais (2-2) et une défaite pour les Italiens (1-0), au match retour en Catalogne. Comme le PSG, la Juventus de Turin était elle aussi éliminée au coup d’envoi en 2003. Ils sont les derniers dans ce cas-là à voir eu la peau de Barcelone, grâce à une victoire (1-2, ap).
La stat qui ne fait pas plaisir à la France: une seule victoire tricolore au Camp Nou
Un seul club français s’est imposé sur la pelouse de Barcelone. C’est le FC Metz, auteur d’un exploit considérable avec une victoire 1-4 en 1984, lors de la défunte Coupe des Coupes. Pour le reste, c’est un désert. Nice (en 1973, 2-0), Monaco (1993, 2-0) se sont inclinés. Comme l’OL, tombé trois fois (2001, 2007, 2009). Le seul match nul? Le PSG, en 1995 (1-1). Mercredi soir, ce ne serait pas suffisant

http://www.20minutes.fr/sport/football/1134227-20130409-barcelone-psg-chiffres-vont-effrayer-ou-pas-parisiens

Touché par la critique, Lovren confie son mal-être à un journal croate

Le quotidien sportif croate Sportske Novotni livre sur son site le compte-rendu d'un entretien de plus de deux heures avec Dejan Lovren. Le défenseur central de l'OL s'épanche longuement sur les difficultés rencontrées à Lyon. Ses blessures, le sentiment de ne pas être soutenu et écouté par ses dirigeants ou bien encore ses relations tendues avec les médias français.
Il n'avait visiblement pas besoin de cela mais Raymond Domenech ne s'était pas privé de tacler Dejan Lovren après son match à Sochaux il y a dix jours (1-2), l'accusant de mettre Lyon en danger en permanence.
"Ça ne date malheureusement pas d'aujourd'hui ce problème de défense à l'OL. Quelle que soit l'organisation de la charnière centrale, ils sont toujours en difficulté. Le deuxième but, c'est le sommet ! Entre la bourde de Lovren et Koné qui est en train de dormir. Mais pourquoi Lovren ne pousse pas le ballon en touche ? Le problème est réglé. Lovren est international. C'est donc censé être un bon joueur. Mais accumuler autant de fautes à chaque match... A un moment donné, il faut quand même lui dire : un peu de rigueur bon sang ! Je pense que c'est un garçon sérieux, mais ses nombreuses erreurs mettent Lyon en danger en permanence", avait lancé l'ex-sélectionneur de l'équipe de France, consultant sur Ma Chaîne Sport.

Sur son site, le quotidien sportif croate revient sur la période délicate que traverse l'internatinoal croate. Ce dernier se confie longuement, expliquant être "le plus grand critique de moi-même". "Et je sais quand j'ai échoué. Ca me donne envie de pleurer quand je fais une erreur technique essentielle."
Seulement voilà, le joueur semble aujourd'hui au bord de la rupture avec son club. "Je suis écoeuré par ce qui se passe tout autour de moi. Je ne suis pas heureux tant que joueur [...] Je ne sais pas pourquoi les médias français ont une telle attitude envers moi. J'ai essayé dans les conversations avec les journalistes d'être gentil expliquant ma vision mais rien n'y faisait [...] J'ai donc gardé le silence, mais même cela n'a pas aidé."
Décrivant un sentiment d'abandon au sein de son club, Dejan Lovren s'avoue "très déçu du comportement de certaines personnes".
"Je pensais qu'ils allaient réagir. Ok, je peux comprendre que le club ne soit pas content de mon jeu, je ne le suis pas non plus. Mais que personne ne demande pourquoi je ne suis pas dans une forme optimale, ne me parle et m'encourage pour résoudre cette situation problématique, c'est ce qui m'a vraiment frappé. Le public ne connaît pas le fond de mes erreurs, même si elles sont, pour être honnête, exagérées [...] C'est l'une des raisons de mon mécontentement. Ils voient que je suis malheureux, que je ne suis pas en mesure de donner le meilleur d'eux-mêmes, mais personne ne dit rien. On pourrait s'attendre à une conversation, quelques conseils. Je suis encore un jeune joueur, je veux toujours apprendre et m'épanouir."

"2012 a été un vrai cauchemar professionnel" poursuit-il détaillant les multiples blessures qui ont émaillé ces deux dernières saisons. "Tout le contraire du bonheur que j'ai éprouvé sur le plan personnel, le mariage et la naissance de sa fille" explique-t-il.
"Si je suis à blâmer pour les problèmes de Lyon, ainsi soit-il. Il y a encore neuf journée avant la fin, je vais faire de mon mieux. Ensuite, nous allons nous asseoir autour d'une table et voir ce qui se passe, ce que le club veut et ce qui est meilleur pour nous tous."

http://www.leprogres.fr/football/2013/04/09/lovren-confie-son-mal-etre-a-un-journal-croate

David Beckham devrait rester au PSG

L'Anglais et le PSG sont d’accord pour prolonger…
Un an de plus? A 38 ans en mai, David Beckham devrait continuer sa carrière au PSG. Selon Le Parisien, le milieu de terrain et le club de la capitale seraient d’accord pour prolonger le contrat de l’Anglais et devraient très rapidement entrer dans le détail des négociations. Il y a une semaine, The Sun révélait le début des discussions entre les deux parties.
Le club et le joueur doivent toutefois encore régler de nombreux points, comme l’imposition du joueur. D’une durée initiale de cinq mois, son contrat lui permet d’éviter d’être résident fiscal français. Des négociations auraient débuté entre le PSG et l’administration fiscale française. David Beckham ne verrait pas d’inconvénient à être imposé sur ses revenus perçus en France mais serait nettement moins partant pour l’être sur les 36 millions d’euros de revenus annuels, fruit de l’ensemble de ses contrats.
Arrivée fin janvier, la star britannique a disputé huit matchs avec le PSG dont trois titularisations. L’Anglais a notamment débuté le quart de finale aller de Ligue des champions contre Barcelone il y a une semaine. Son entraîneur Carlo Ancelotti et son président Nasser al-Khelaïfi ont affirmé leur volonté de le conserver.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1133935-20130409-david-beckham-devrait-prolonger-psg

PSG: Une prime de 400.000 euros pour les titulaires en cas de titre?

C’est ce qu’auraient réussi à négocier les joueurs parisiens…
Avec sept points d’avance sur Marseille, il faudrait un cataclysme pour que le PSG ne soit pas sacré champion de France en mai prochain. Une bonne nouvelle pour les supporters, et une excellente pour les joueurs. Selon Le Parisien, une prime de 400.000 euros sera versée aux Parisiens s’ils deviennent champions de France. Même ceux partis en cours de saison ou ayant moins joué en bénéficierait, au prorata de leur présence sur la pelouse.
Les Parisiens peuvent remercier les trois négociateurs de chocs ayant arraché cette prime à Leonardo: Zlatan Ibrahimovic, Zoumana Camara et Thiago Silva, le capitaine. Ce genre de négociation a le plus souvent lieu en début de saison. Mais les discussions avaient buté il y a quelques mois, quand les délégués du vestiaire étaient Mathieu Bodmer, Christophe Jallet et déjà Zoumana Camara. Il faut croire que même en coulisse, le Suédois et le Brésilien tirent leurs camarades vers le haut.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1133179-20130408-psg-prime-400000-euros-titulaires-cas-titre

lundi 8 avril 2013

Football: 2 supporters blessés à Rome

Deux personnes ont été blessées à coups de couteau aujourd'hui lors d'affrontements entre supporters avant le derby entre l'AS Roma et la Lazio, a annoncé la police.

Les heurts se sont produits aux abords du Stade olympique de Rome, où le match comptant pour la 31e journée de Serie A, le championnat italien de football de première division, a débuté à 20h45 (18h45 GMT).

Le maire de Rome, Gianni Alemanno, a précisé que ces violences avaient contraint les boutiques du quartier à fermer.

La Lazio occupe actuellement la sixième place du classement, avec 50 points, la Roma suit à la septième place, à trois points.
Suivez le match en DIRECT.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/08/97001-20130408FILWWW00642-football-2-supportes-blesses-a-rome.php

Ligue 1: Marseille, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Nice… Qui pour accompagner le PSG en C1?

Si Paris semble assuré du titre, la lutte fera rage pour la qualification en Ligue des champions…
Le sprint final est lancé. À sept journées de la fin de la saison, le suspense reste entier en Ligue 1. Si le titre promis au PSG ne semble plus faire aucun doute, derrière la lutte est serrée pour les deux autres tickets à décrocher en Ligue des champions. De Marseille (2e) à Nice (6e), ils sont cinq à pouvoir prétendre à la piste aux étoiles. État des forces en présence, avec Olivier Rouyer, consultant foot sur Canal +.

Marseille, 2e avec 57 points

Sur le podium depuis octobre, on prédit depuis des mois une chute certaine à l’OM. Sauf que les hommes d’Élie Baup savent souvent se contenter de peu. Sur leurs 17 victoires cette saison, les Marseillais en ont remporté quatorze avec un but d’écart. «Ce n’est pas spectaculaire à voir jouer mais c’est très costaud. On ne les attendait pas là et c’est d’ailleurs leur point fort. On aura du mal à les déloger surtout s’ils ne perdent pas à Lille dimanche», estime Rouyer.

Saint-Etienne, 3e avec 53 points (+26)

Deuxième attaque, deuxième défense, deuxième différence de buts et deuxième meilleur buteur. Les Verts, toujours invaincus en 2013, ont de quoi vraiment prétendre au podium. «Sauf que je les vois terminer quatrièmes. Ce sont les seuls à être encore sur tous les tableaux. Et la finale de Coupe de la Ligue (le 20 avril) peut avoir un effet très pervers. Victoire ou défaite, il pourrait y avoir une décompression néfaste dans la dernière ligne droite», prédit Olivier Rouyer.

Lyon, 4e avec 53 points (+16)

Une équipe qui vient d’être battue respectivement par Bastia, Sochaux et Reims semble à bout de souffle. En 2013, l’OL n’est plus que l’ombre de lui-même en 2013 (4 victoires en 12 matchs). «Il y a quelque chose de cassé. On a l’impression que les joueurs lâchent pour différentes raisons. Je pense qu’ils auront du mal à s’en remettre. Je ne les vois pas sur le podium», enfonce le consultant Canal+.

Lille, 5e avec 52 points

C’est l’équipe en forme du moment. Avec sept victoires sur ses huit derniers matchs, le Losc aborde le sprint final en pleine confiance. «À chaque fois, ils sont inarrêtables en fin de saison. On les sent sûrs d’eux. La qualité et l’état d’esprit sont revenus. Pour moi, ils y vont tout droit. J’en fais mon candidat numéro 1 pour la troisième place», parie Olivier Rouyer.

Nice, 6e avec 51 points

La grosse côte. En début de saison, personne n’imaginait les Niçois à pareille fête. Et pourtant. «Il y a un boulot formidable de Claude Puel. Mais ils n’ont pas assez de banc et manquent encore d’expérience pour aller sur le podium», conclut l’ancien joueur de Nancy.

http://www.20minutes.fr/sport/1133507-20130408-ligue-1-marseille-saint-etienne-lyon-lille-nice-accompagner-psg-c1

Nancy impressionne

Peut-être parce qu’on est à Nancy plus sensible qu’un peu partout ailleurs à ce genre de drame. Jean-Marc Furlan faisait peine à voir, seul sur son estrade, samedi, à l’heure des conclusions. Il restait digne et lucide et même s’il évita soigneusement de tenir des propos définitifs, son discours ne laissait guère de doute sur le sort qui attend son équipe. Troyes jouera l’an prochain en Ligue 2, voilà une affaire classée. Nancy sans état d’âme, s’est chargé de refermer le couvercle.
Il reste deux victimes à trouver au hasard des sept journées restantes. « Car il n’y a que la 17e place qui m’intéresse … », répète comme un slogan Patrick Gabriel. Une supplique qui ramène à la recommandation numéro un du moment : pas question de s’emballer. Dans le genre, le plus « dangereux » personnage est peut-être Jacques Rousselot. Le président était transporté par des émotions proportionnelles à ses dernières angoisses : « C’est fabuleux. Je n’ai jamais connu cela. On revient au contact, tous ceux qui nous avaient déjà condamnés avaient tort. Mais nerveusement que ce fut dur… ».

Le jeu et l’enjeu

Cette équipe nancéienne aurait-elle domestiqué cette peur du vide qui lui tient compagnie depuis quelques mois ? S’il fallait caractériser autrement les progrès de cette ASNL laissée pour morte en hiver, on diagnostiquerait ce mental à toutes épreuves. La preuve ? Le comportement de cet adversaire troyen qui avait toisé les plus gros de cette Ligue 1 et qui est venu à Picot profil bas, jouant même contre nature, comme un hommage à une équipe nancéienne féroce. Furlan l’a admis, il craignait Nancy. Il est vrai qu’au classement virtuel des matchs retour l’ASNL est… cinquième !
Cela nous ramène en arrière, à vendredi quand Gabriel décréta qu’un nul ne serait pas un mauvais résultat. Une provocation ? Une manière de déminer ? Plus que cela ! « Je savais surtout qu’il fallait ne pas prendre de but , précise-t-il. Ensuite je connaissais les statistiques, Troyes encaisse beaucoup de buts sur la fin… ». Le coup était prémédité.
Les joueurs, interrogés au débotté, confirmeront que la voie était tracée. Ils ont foncé les yeux fermés. Force est de constater qu’ils ne sont jamais sortis des rails, continuant à bâtir leur équilibre de vie entre un élan offensif quasi permanent et des bases toujours bien maîtrisées. Cette partition se traduit aujourd’hui par une série remarquable, y compris parce que Grégorini n’est plus battu depuis trois matches. Une équipe s’est stabilisée.
Voilà donc Nancy à un point de la ligne de flottaison, agitée par une dynamique qui ressemble à une revanche après des mois en souffrance. Pourtant l’entraîneur douche les flambeurs : « On a toujours 2 % de chance de se maintenir ! Car ce soir on est en Ligue 2. […] Et comptez sur moi pour calmer tout le monde avant Ajaccio ! ».

http://www.republicain-lorrain.fr/sports/2013/04/08/nancy-impressionne

Agression d’un arbitre à Anzin-Saint-Aubin: le suspect en garde à vue

Ce lundi matin, le capitaine de l’ES Vendin-le-Vieil a été convoqué au commissariat d’Arras, où il a été placé en garde à vue. Le joueur de football, âgé de 33 ans, avait agressé un arbitre lundi dernier lors d’un match de promotion de première division du district Artois.

Dans cette affaire, l’arbitre a déposé plainte pour violences au commissariat d’Avion, tandis que le club d’Anzin-Saint-Aubin déposait plainte également, mais pour dégradations. Le joueur mis en cause, accompagné de deux coéquipiers, avait arraché la porte du vestiaire avant de prendre la fuite.
Lundi dernier, lors d’une rencontre de Promotion première division, le capitaine de l’ES Vendin-le-Vieil avait menacé l’arbitre, avant de le frapper au visage et de le rouer de coups de pieds au sol. La victime avait été transportée à l’hôpital d’Arras par les pompiers. Elle présente une ITT de quinze jours.
L’affaire a fait grand bruit dans le monde du football amateur et de nombreuses voix se sont élevées, notamment chez les arbitres, pour réclamer plus de sévérité dans les sanctions. La Ligue de football Nord – Pas-de-Calais a d’ores et déjà réagi en annonçant un doublement des sanctions et des amendes en cas de violences, insultes, menaces, bousculades, propos racistes…

http://www.lavoixdunord.fr/region/agression-d-un-arbitre-a-anzin-saint-aubin-le-suspect-ia29b0n1160670

Retour d'Eric Abidal FC Barcelona - Real Marjoque

Ligue 1. Le FC Lorient atomisé par le LOSC

Toujours en lutte pour les places européennes, le FC Lorient a déchanté, ce dimanche soir à Lille, en s’inclinant lourdement face au LOSC, pour le compte de la 31e journée de Ligue 1.
À 7 journées de la fin de saison, c’est une défaite qui éloigne les Merlus dans la course à l’Europe. Avec 44 points au compteur (8e), les Bretons comptent déjà 9 points de retard sur la 3e place occupée par Saint-Etienne (3e, 53 pts) et le scénario du match de ce soir n’a rien de rassurant pour la suite…
4-0 à la mi-temps !
D’entrée, les Lillois cueillaient leurs adversaires à froid. Profitant d’une hésitation de la défense de Lorient, Kalou, servi dans la surface et à la limite du hors-jeu par Béria, battait Audard d’un tir croisé du pied droit (2', 1-0). Pas le temps de souffler pour le portier lorientais, Fabien Audard. Six minutes plus tard, Lille faisait le break. Profitant des espaces laissés par le bloc lorientais, Rodelin frappait fort du droit à ras de terre. Audard se couchait parfaitement et détournait le ballon. Mais Payet suivait et concluait du pied gauche (8', 2-0).
Les Merlus tentaient bien de réagir, par l’intermédiaire d’Aliadière, mais celui-ci butait sur Elana, le gardien lillois (16'). En confiance, les Lillois, maîtres du ballon, semaient le trouble dans la surface morbihannaise. Tant et si bien qu’Ecuele Manga finissait par accrocher Payet dans sa surface… Monsieur Buquet désignait le point de penalty et Digne appliquait la sentence (31', 3-0).
Grâce à un collectif bien huilé, les Nordistes aggravaient une nouvelle fois le score trois minutes plus tard. Servi par Balmont, Payet filait côté gauche, repiquait dans l’axe et déclenchait une frappe du droit renvoyée par le poteau gauche d’Audard. Kalou, suivait parfaitement et inscrivait son 8e but en Ligue 1 cette saison (34', 4-0).
Insuffisances lorientaises
Avec 4 buts d’avance et un adversaire dépassé, les joueurs de Rudi Garcia revenaient sereinement sur le terrain, après la pause. Et, encore une fois, ils ne tardaient pas à faire trembler les filets. Sur un long ballon donné à la limite du hors-jeu par Payet, Rodelin, de la poitrine, offrait un caviar à Kalou dans la surface. L’Ivoirien déclenchait un tir du pied droit renvoyé par la transversale. Mais comme précédemment, un Lillois (Rodelin) suivait et finissait le travail de la tête (52', 5-0).
Ensuite, le rythme retombait légèrement. Le trio lillois Gueye-Martin-Balmont continuait de monopoliser le ballon au milieu de terrain et les Lorientais ne voyaient toujours pas le jour. Malgré les deux dernières occasions manquées par Payet (78', 80'), le coup de sifflet final permettait aux Dogues de laisser éclater leur joie et surtout aux Merlus de mettre un terme à cette soirée cauchemardesque.
LILLE - LORIENT : 5-0 (4-0)
34 000 spectateurs. Arbitre : R. Buquet
BUTS. Lille : Kalou (2', 33'), Payet (8'), Digne (31' sp), Rodelin (53').
AVERTISSEMENTS. Lorient : Ecuele Manga (30'), Monnet-Paquet (43'), Lemina (89').
LILLE : Elana - Béria, Chedjou (cap), Basa, Digne - Balmont, Gueye, Martin - Rodelin (Origi 75), Kalou (Roux 68), Payet (Bruno 86). Entraîneur : Rudi Garcia
LORIENT : Audard - Gassama, Koné, Ecuele Manga (cap), Barthelme (Autret 74) - Corgnet, Abu, Lautoa (Lemina 62), Monnet-Paquet - S. A. Traoré (Baca 46), Aliadière. Entraîneur : Christian Gourcuff
 

Barcelone-PSG: L'UEFA désigne un arbitre néerlandais

Selon le quotidien catalan Sport, c'est le Néerlandais Björn Kuipers quk a été désigné par l'UEFA pour officer lors du quart de finale retour de Ligue des champions entre Barcelone et le PSG, merfredi, au Camp Nou. Et ce n'est pas forcément une mauvaise nouvelle pour les hommes de Carlo Ancelotti. Kuipers a déjà arbitré les Parisiens cette saison: c'était lors de la phase de poule pour une victoire (4-1) contre le Dynamo Kiev. le Hollandais a également déjà arbitré un match des Catalans cette saison. Et c'était lors d'une des rares défaites défaites des coéquipiers de Lionel Messi, chez le Celtic Glasgow (2-1), en phase de poule de la C1.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1133281/20130408-barccelone-psg-uefa-designe-arbitre-neerlandais

Ligue 1 : Les Verts sur le podium, Lille écrase Lorient 5-0

Saint-Etienne s'est imposé à Geoffroy Guichard en battant Evian 1-0. Lyon a perdu face à Reims 1-0 en fin d'après-midi. Les Verts s'installent donc à la 3e place de la Ligue 1.
Saint-Etienne est monté sur le podium de la Ligue 1 grâce à sa victoire 1-0 contre Evian-Thonon et à la défaite de Lyon à Reims sur le même score, dimanche lors de la 31e journée, qui a vu les positions se resserrer dans la course à la Ligue des champions. C'est la troisième défaite consécutive pour Lyon, qui n'a pris que deux points lors de ses cinq derniers matches. Les Lyonnais, qui étaient sur le podium depuis la 2e journée, ont livré une prestation d'une immense pauvreté au stade Auguste-Delaune et ont été très logiquement battus.
Le but rémois a été inscrit à la 53e minute par Krychowiak sur un penalty provoqué par Bisevac, exclu sur le coup pour des insultes à l'arbitre. Reims est 15e, alors que Lyon glisse à la quatrième place, à 11 points du leader, le Paris SG, et à quatre longueurs de Marseille (2e). L'OL compte le même nombre de points (53) que Saint-Etienne (3e) mais est nettement devancé à la différence de buts (+16 contre +26). "Il y a urgence. Il faut se serrer les coudes, retrouver beaucoup d'humilité et se mettre au travail", a reconnu l'entraîneur lyonnais Rémi Garde après le match.
Lille explose Lorient 5-0
Auparavant, Saint-Etienne avait péniblement battu Evian-Thonon 1-0 au stade Geoffroy-Guichard. Le but des Verts a été inscrit à la 78e minute par Laquait contre son camp. Les joueurs d'Evian-Thonon ont contesté ce but, mais le ballon était bien entré, de quelques centimètres, ce qu'a reconnu leur entraîneur Pascal Dupraz. Avant ce but, les Stéphanois avaient été nettement dominateurs mais étaient tombés sur un excellent Laquait dans les buts adverses. Evian-Thonon se retrouve 17e, avec un point de marge seulement sur la zone rouge. Les Verts montent eux sur le podium, à quatre points de Marseille, vainqueur vendredi de Bordeaux sur son score favori, 1-0.
Lors de la dernière rencontre de cette 31e journée, Lille a écrasé Lorient 5-0 et a confirmé ses ambitions pour la fin de saison. Le Losc (5e) n'a qu'un point de retard sur le podium et arrive lancé avec sept victoires lors des huit derniers matches. Face à Lorient, Kalou a inscrit un doublé et les autres buts ont été marqués par Payet, excellent, Digne sur penalty, et Rodelin.
 

Ligue 1: Lyon cède encore du terrain, l'ASSE sur le podium

Lyon a encore trébuché en Ligue 1, s'inclinant 1-0 dimanche à Reims et cédant la troisième marche du podium à son vieux rival, Saint-Etienne, qui n'a rien lâché lors de la réception d'Evian TG (1-0).
Lyonnais et Stéphanois sont à égalité de points (53), mais les Verts prennent la troisième place à la faveur d'une meilleure différence de buts (+26 contre +16) et se maintiennent à quatre points de Marseille, vainqueur de Bordeaux 1-0 vendredi soir en ouverture de la 31e journée.

Le Paris Saint-Germain, qui disputera mercredi un quart de finale retour de la Ligue des champions face au Barça (2-2 à l'aller), caracole toujours en tête du championnat après sa victoire à Rennes 2-0 samedi.
A Reims, les promus champenois ont inscrit l'unique but de la partie à la 53e minute par leur milieu de terrain polonais Grzegorz Krychowiak sur un pénalty consécutif à une faute du Serbe Milan Bisevac, exclu sur ce geste.
"Evidemment, cette victoire fait du bien. Cela nous donne beaucoup d'oxygène", a dit sur beIN sport le Rémois Anthony Weber, dont l'équipe compte quatre points d'avance sur le premier relégable.
Lyon, qui n'a inscrit qu'un point sur les quatre dernières journées, enregistre sa troisième défaite d'affilée.
En début d'après-midi, Saint-Etienne a peiné mais un but de Romain Hamouma à la 77e minute lui a permis de battre Evian TG. Isolé au second poteau, Hamouma a repris de la tête un centre de François Clerc. Le ballon a frappé la transversale avant de rebondir derrière la ligne.
Campé sur sa défense, s'appuyant sur son gardien Bertrand Laquait en réussite, Evian avait jusqu'alors bien résisté et a même eu une occasion d'égaliser en toute fin de rencontre, Yannick Sagbo de la tête ratant de peu le cadre sur un centre de Saber Khlifa.
"Le score nous est favorable parce qu'on a su persévérer (...) Pour avoir la chance de l'emporter, il fallait surtout ne pas prendre de but. Derrière, on a été appliqués, on a laissé peu de situation", a déclaré l'entraîneur de Saint-Etienne Christophe Galtier.
"Être troisième, ça fait quoi? Rien! Cette victoire est importante dans le sens où il fallait renouer avec le succès. Il fallait confirmer les trois bons matches nuls réalisés en mars (ndlr, à Rennes, face au PSG et à Troyes). Mais il fallait valoriser ces points", a ajouté Galtier.
Dans le dernier match de la soirée, Lille, sixième à quatre points des Stéphanois, reçoit Lorient, huitième

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/ligue-1-lyon-cede-encore-du-terrain-l-asse-sur-le-podium-07-04-2013-1651227_240.php

dimanche 7 avril 2013

Reims 1 - OL 0. L'Olympique Lyonnais quitte le podium

Battu à Reims, l'OL est éjecté de la troisième place par l'AS Saint-Etienne. Avec trois défaites consécutives et une équipe aux abonnés absents, rien ne va plus pour Lyon en ce moment. Face à Reims, les Lyonnais ont été totalement impuissants, à l'image du trio Lacazette-Gomis-Lisandro, incapable de combiner efficacement. L'Olympique Lyonnais n'avait plus quitté le podium depuis la 2e journée du championnat !
Lyon, à côté de la plaque et réduit à 10 en seconde période, a subi dimanche à Reims une troisième défaite consécutive en Ligue 1 (1-0) et se voit éjecté du podium pour la première fois depuis la 2e journée.
Si les Lyonnais ont connu un mois de mars très sombre (deux défaites et deux nuls), ils débutent le mois d’avril dans le noir avec une défaite logique sur le terrain d’un mal classé et une descente à la 4e place au classement (devancé par Saint-Etienne à la différence de buts).
Reims peut être fier d’avoir battu sur sa pelouse le champion de France en titre, Montpellier, et deux cadors du championnat: le PSG et Lyon. Le maintien n’est pas encore acquis mais l’équipe d’Hubert Fournier est forcément sur la bonne voie.

En plein doute

Lyon est en plein doute et cela se voit: les joueurs manquent des passes faciles, se trouvent difficilement, jouent de manière mécanique et perdent leurs nerfs, à l’image de Bisevac, exclu en seconde période après avoir commis une faute sur Diego et provoqué un penalty (51e).
Lisandro, sur le terrain, et Rémi Garde, sur la touche, ont multiplié les gestes d’agacement et de colère en première période. Franchement, il y avait de quoi. Sur une pelouse en piteux état, les Lyonnais n’ont quasiment pas existé offensivement, ne se créant que deux timides occasions: une frappe écrasée de Lisandro (29e), qu’Agassa a captée en deux temps, et un tir anodin de Lacazette contré par un défenseur (42e).

Vercoutre, l’un des rares à la hauteur

Reims, en revanche, a fait son match, se créant plusieurs occasions dangereuses. Rémi Vercoutre, l’un des rares Lyonnais à la hauteur dimanche, a longtemps fait son possible pour repousser l’ouverture du score rémoise. Le gardien a dégagé une reprise de la tête piquée de Fofana (5e), s’est couché sur une frappe de Glombard en déséquilibre (12e) et a gardé les poings très fermes sur une reprise à bout portant de Courtet (30e).
En revanche, Vercoutre est resté spectateur sur un missile de Diego qui s’est écrasé sur son poteau gauche (50e) et n’a rien pu faire sur le penalty tiré en force dans l’axe par Krychowiak (1-0, 53e). Il a ensuite dû s’employer sur une frappe de près de Devaux (76e) pour éviter à son équipe de sombrer.

Lisandro remplacé à la mi-temps

L’entraîneur de Lyon Rémi Garde n’avait eu d’autre choix que de changer son attaque à la mi-temps, tant l’entente entre Lacazette, à droite, Gomis, dans l’axe, et Lisandro, à gauche, s’était révélée catastrophique.
Briand, entré à la place de Lisandro, s’est positionné à droite, envoyant Lacazette à gauche et laissant Gomis en pointe. L’OL a montré un peu plus d’envie l’espace de cinq minutes. Mais l’exclusion de Bisevac (51e) a complètement bouleversé son nouveau plan de jeu, obligeant Gonalons à descendre en défense centrale pour combler le trou. Seul Grenier, sur coup franc, a fait une frayeur au public rémois mais Agassa a dévié en corner (68e). Lyon ne fait plus peur.

http://www.leprogres.fr/sports/2013/04/07/l-olympique-lyonnais-quitte-le-podium

Pour 96% des Français, les footballeurs professionnels sont «trop payés»

Selon un sondage, ils le sont encore plus que les dirigeants du CAC 40...
Les Français jugent à 96% que les footballeurs professionnels de la Ligue 1 sont «trop payés» et 88% d'entre eux le pensent aussi pour les dirigeants du CAC 40, selon un sondage CSA pour M6-Capital, diffusé dimanche. Au total 85% des Français déclarent «ressentir de la colère» quand ils entendent parler des écarts de salaires. Cette proportion monte à 90% dans les catégories populaires, à 93% chez les personnes sans diplôme et chez les sympathisants de gauche.
Les footballeurs de la Ligue 1 sont «trop payés» pour 96% des personnes interrogées, «normalement payés» pour 3% d'entre elles (1% sans opinion). Même sentiment pour les dirigeants du CAC 40, «trop payés» pour 88% des Français (9% «normalement payés», 3% sans opinion). En revanche, les ouvriers sont considérés comme «mal payés» par 85% des Français. 1% juge qu'ils sont «trop payés», 12% qu'ils «normalement payés» (2% sans opinion).
Une majorité des personnes interrogées estiment «normalement payés» les médecins généralistes (62%), les dirigeants des PME (62%), les enseignants (57%). Invités à dire à partir de quel niveau de salaire une personne gagne bien sa vie, les Français répondent en moyenne 2.683 euros. L'institut note que les réponses, dont il a fait une moyenne, varient beaucoup en fonction du revenu et de la profession. Sondage réalisé par internet du 26 au 28 mars, auprès d'un échantillon de 1.012 personnes majeures (méthode des quotas).

http://www.20minutes.fr/sport/football/1132649-20130407-96-francais-footballeurs-professionnels-trop-payes

FC Barcelone: Eric Abidal rejoue, près d'un an après sa greffe du foie

Peut-être le verra-t-on contre le PSG mercredi en Ligue des champions...
Le défenseur français du FC Barcelone Eric Abidal a rejoué en match officiel, entrant samedi en championnat d'Espagne contre Majorque, près d'un an après sa greffe du foie pratiquée pour soigner un cancer. Transplanté le 10 avril 2012 du foie à l'hôpital Clinic de Barcelone, Abidal a ainsi retrouvé à 33 ans le haut niveau, alors que son dernier match officiel remontait au 26 février 2012, à l'occasion de la rencontre amicale France-Allemagne.
Abidal, qui a toujours été soutenu par son club depuis le début de sa maladie, a été salué par un tonnerre d'applaudissements et une standing-ovation lorsqu'il est entré en jeu à la 70e minute, remplaçant le défenseur central Gerard Piqué. Interviewé à la fin du match, Abidal a remercié son cousin de vive-voix, après lui avoir laissé un message en dessous de son maillot. C'est en effet ce cousin qui lui a donné une partie de son foie. «Sans lui je ne serais pas là. Aujourd'hui est un moment magique. Il ne font jamais arrêter de lutter, il y a toujours de l'espoir. J'ai essayé de faire du mieux que je pouvais, et si je peux inspiré des gens, tant mieux», explique l'ancien joueur de l'OL à Canal+ Espagne.
Le Français aux 61 sélections a ainsi à son tour signé l'exploit de revenir au plus haut niveau après une greffe, ce que n'ont réalisé que peu de sportifs. En rugby, l'international néo-zéolandais Jonah Lomu avait lui repris son sport au niveau professionnel après la transplantation d'un rein.
Titulaire contre le PSG?
«Abi», comme l'appellent ses coéquipiers, est par ailleurs revenu en un temps-record, déjouant certains pronostics qui disaient sa carrière déjà achevée. Alors qu'il s'entraînait déjà depuis décembre avec ses coéquipiers, l'ancien Lyonnais avait cependant toujours insisté sur sa volonté de revenir progressivement, déclarant ne pas vouloir prendre de risques inconsidérés.
Il s'agit en fait du deuxième come-back dans la carrière du Français, qui était déjà revenu une première fois en 2011 après une première opération du foie. Il avait toutefois rechuté quelques mois plus tard. Son retour a d'autant plus d'écho au Barça qu'il concorde avec celui de l'entraîneur catalan Tito Vilanova, qui a lui retrouvé samedi le banc du Camp Nou, après avoir été traité pendant deux mois à New York d'une rechute d'un cancer d'une glande salivaire.
La question est maintenant de savoir si Abidal pourrait aussi refaire son apparition mercredi contre le Paris Saint-Germain au Camp Nou en Ligue des Champions (2-2 à l'aller), compétition pour laquelle il est qualifié. Avec les forfaits longue durée de Mascherano et Puyol, auxquels il faut ajouter l'état convalescent d'Adriano, les Catalans sont en effet à court de défenseurs centraux.
Le Lyonnais semble toutefois encore juste pour jouer d'entrée de jeu aux côtés de Piqué et il est plus probable qu'il servira d'appoint derrière le jeune Bartra, qui tient lui la corde. En 2011, Abidal avait déjà signé un premier retour, évoluant même comme titulaire pour la finale de la C1 contre Manchester United (3-1) remportée par les Catalans. Symboliquement, pour fêter ce retour, Puyol lui avait d'ailleurs donné le brassard et l'honneur de soulever le trophée en premier, à Wembley. Tout Barcelone rêve cette année d'un scénario identique, puisque la finale de la C1 2013 se disputera dans le même écrin londonien.

http://www.20minutes.fr/sport/1132635-20130406-fc-barcelone-abidal-rejoue-pres-an-apres-greffe-foie

Ligue des champions: Quel onze de départ pour le PSG à Barcelone?

Trois incertitudes planent encore dans l’esprit d'Ancelotti...
Pour un match qu’on le soupçonnait de vouloir balancer, le PSG a drôlement bien fait le boulot à Rennes avec sept remplaçants sur le terrain (2-0). Pour certains – Van der Wiel, Gameiro, Camara- la belle prestation en Bretagne sera sans lendemain, en tout cas sans lendemain sur le terrain au Camp Nou. Pour d’autres en revanche, Carlo Ancelotti a encore un petit doute avant le match retour face au Barça mercredi. Un par ligne précisément.
En défense: Thiago Silva ou pas Thiago Silva?
Le capitaine parisien, énormissime à l’aller, a été préservé à Rennes, le temps de se remettre d’un gros coup sur le genou reçu au Parc des Princes contre le Barça. Resté bien au chaud en tribunes officielles à côté de Nasser et Leonardo, le Brésilien avait tout de même participé sans gêne apparente à la séance de la veille au Camp des Loges. Un signe plus positif que les déclarations légèrement alarmistes d’Ancelotti en Bretagne: «Il a une douleur. Nous verrons ou pas s’il est apte à jouer mercredi». Alex, l’autre brésilien de la charnière parisienne, se plaint lui d’une cuisse, même si son étant n’inspire pas plus d’inquiétude que ça. Sakho se tient évidemment prêt au cas où.
Au milieu: Beckham reconduit d’entrée?
La titularisation de l’Anglais avait surpris à l’aller. Apparu un peu juste physiquement pour une rencontre de ce niveau, Beckham peut-il de nouveau débuter au Camp Nou? Cela dépendra beaucoup de l’état des adducteurs de Thiago Motta, l’option numéro 1 d’Ancelotti pour remplacer Blaise Matuidi, suspendu au Camp Nou. Sauf que l’Italien n’a pas joué depuis le 6 mars et que le lancer dans un match de cette importance semble risqué. Restent donc Chantôme et Verratti, sorti à la mi-temps à Rennes après avoir récolté son dixième avertissement de la saison. «Marco est tranquille, il a fait son match. Je n’ai rien appris de nouveau ici» a expliqué Ancelotti, qui pourrait aligner le jeune italien aux côtés de Beckham.
En attaque: Ménez, mieux qu’un joker de luxe?
Son slalom au milieu de la défense bretonne sur le premier but a rappelé l’énorme impact individuel que pouvait avoir Ménez au sein de l’attaque parisienne. Chaudement félicité par son coach et ses coéquipiers dans les couloirs du stade de la Route de Lorient, l’international français peut-il espérer mieux qu’un rôle de «super sub» en fin de match au Camp Nou? «Je connais les qualités de Jérémy, il peut certainement nous aider là-bas» a confié Ancelotti. Mais le coach parisien a choisi de reposer Pastore, Lucas et Lavezzi, tous trois sur le banc à Rennes. Le Brésilien, peut-être le plus susceptible de laisser sa place à Ménez, n’est même pas entré. Ce n’est sans doute pas pour commencer le quart au Camp Nou sur le banc.

http://www.20minutes.fr/sport/1132731-20130407-ligue-champions-onze-depart-psg-a-barcelone